Après Dior et L’Oréal, Deret va s’implanter sur le Cosmetic Park, à Boigny et Vennecy
Après Dior et L’Oréal, Deret va s’implanter sur le Cosmetic Park, à Boigny et Vennecy
Le groupe de logistique, dont le siège est basé à Saran, a signé pour un entrepôt de 28.000 mètres carrés, « dédié à la logistique d’un grand distributeur français de cosmétiques ».
Après Dior et L’Oréal, le nom de la troisième entreprise qui s’installera sur le Cosmetic Park est connu. Il s’agit de Deret. Le groupe de logistique, dont le siège est à Saran, s’implantera dans un entrepôt de 28.000 mètres carrés, construit par la société foncière Arefim et l’agence d’architectes A26. La livraison des locaux est prévue pour fin 2021.
Ce bâtiment aura la particularité d’être extensible (jusqu’à 62.000 mètres carrés) et il comportera 1.262 mètres carrés de bureaux. Il sera certifié Breeam Very good (un label environnemental) et sera « dédié à la logistique d’un grand distributeur français de cosmétiques », dont le nom est pour l’instant tenu secret.
Rappelons que Deret assure depuis de nombreuses années la logistique de Sephora. Un groupe pour lequel l’entreprise fondée par Lucien Deret a même construit un immeuble administratif, à deux pas de ses entrepôts saranais, en 2017.
20.000 mètres carrés pour Dior, 35.000 pour L’Oréal
Deret rejoint ainsi Dior et L’Oréal, sur le Cosmetic Park. Cette zone d’activité se situe sur l’ancien site de Lexmark (le long de la RD2152), à cheval entre les communes de Boigny-sur-Bionne et Vennecy.
Dior a pris possession de ses locaux en août (20.000 mètres carrés). La livraison du bâtiment de L’Oréal (35.000 mètres carrés) est, elle aussi, prévue pour fin 2021.
Cosmetic Park est un parc thématique de 78 hectares (dont 17 de bois classés), dédié à la logistique de l’industrie cosmétique. Outre les entreprises, il accueillera un pôle services, avec une crèche Babilou de 40 berceaux (ouverture dans un an), un hôtel-restaurant et des équipements sportifs (cours de tennis). Des espaces de promenade permettront de se balader autour de trois bassins.
D’ici un à deux ans, entre 700 et 800 personnes seront amenées à y travailler.
Publié le 02/11/2020
Marion Bonnet
Larep.fr
